Le chef s’est adressé au monde le mercredi 20 septembre, au cours de son discours, il a abordé plusieurs sujets à intérêt nation qu’international. Félix Antoine Tshisekedi premièrement commencé à manifester sa solidarité avec le peuple libyen et autres peuple frappaient par les catastrophes naturelles qui ont causé plusieurs pertes en vies humaines, peu avant de rappeler les conversations sur le retrait progressif de la Monusco avec un accent particulier sur les violences faites aux femmes, loin d’être éradiquer malgré la présence des forces onusiennes.
« Il est temps pour notre pays de prendre pleinement son destin en main et de devenir le principal acteur de sa propre stabilité », a-t-il lancé lors de l’Assemblée générale de l’ONU. Dans cet objectif, le retrait « progressif » de la mission de maintien de la paix de l’ONU (Monusco) et de ses plus de 15.000 Casques bleus « est une étape nécessaire pour consolider les progrès que nous avons déjà réalisés », a-t-il estimé. Il a déploré que les missions onusiennes présentes depuis près de 25 ans « n’aient pas réussi à faire face aux rébellions et conflits armés qui déchirent ce pays et la région des Grands Lacs ni à protéger les populations civiles« . Felix Tshisekedi
Le chef de l’état appelle à une révisitation des règles qui lient la Rdc aux forces des nations unies.
Le chef de l’état a également insisté, interpelé les parties prenantes sur l’apport majeur de la Rdc dans le réchauffement climatique et ne reçoit rien en retour. Une interprétation qui tombe à point nommé pour de solution urgente.
Il a une fois de plus présenté la RDC comme pays-solution en matière de changements climatiques.
Le chef de l’Etat congolais a reconnu la difficulté de maintenir la montée de la température mondiale à 1,5 degrés Celsius.
Pour luttez contre ces catastrophes, il a appelé à la mutualisation des forces et stratégies de tous les pays, avant d’inviter les pays pollueurs à honorer leurs engagements dans la lutte contre le réchauffement climatique.
« La RDC demande la création d’un marché carbone équitable pour le financement du réchauffement climatique », a poursuivi Félix Tshisekedi.